Le projet Pastoral de la Maison du Diocèse est d’insuffler l’Esprit de la Maison Commune dans ce lieu.
Pour la partie extérieure de cette Maison il est proposé de te laisser toucher par le Beau, le Bon et le Bien.
Laisse-toi aller à la flânerie dans le parc de 4 hectares, véritable écrin de verdure et de vie, (re)découvres la Relation à Toi, aux Autres, à la Création et à Dieu.
C’est pour permettre cette rencontre aux 4 dimensions que nous avons choisi de mettre en place une gestion raisonnée du Parc
La pelouse devant la maison
Cette belle pelouse juste devant l’entrée de la Maison est un lieu de vie fraternel.
C’est le lieu de la Rencontre et de la Joie, à l’image des grandes pelouses dans les maisons de famille.
C’est là que se déroulent tous les moments forts en extérieur lors de grands rassemblements.
C’est aussi un formidable terrain de jeux pour les jeunes et moins jeunes, joie partagée entre les générations.
Nous t’imaginons aussi à l’ombre des grands arbres pour un moment de détente, d’échange ou de recueillement.
N’hésite pas à prendre place sur les bancs et fauteuils ou à participer à une partie de foot improvisée !
Le parc nécessite un entretien classique et soigné. Il est tondu toutes les 2 semaines, du printemps au début de l’automne. La tonte se fait en mulching (l’herbe est broyée et laissée sur place), la décomposition permettra de nourrir le sol.
Au pied des arbres sont déposés des copeaux de bois pour favoriser le développement des racines. Cela rend les arbres plus forts, plus beaux, alors ne les éparpille pas…
Les allées autour du parc ne sont pas traitées contre les mauvaises herbes. Il arrive qu’elles apparaissent, c’est cela aussi la diversité, n’hésite pas à les arracher lors de de tes promenades…les petits gestes de chacun rendent le parc plus beau pour tous…
Le Parc naturalisé, derrière la pelouse
Le parc naturalisé est un peu plus éloigné de la Maison mais reste visible.
Depuis le perron nous pouvons apercevoir les beaux arbres qui le composent et aussi la diversité qui s’exprime par ces herbes hautes.
Ici la promenade est accessible à tous en longeant la clôture du parc.
Admire le contraste entre cette zone enherbée et les allées.
En marchant dans les allées, observe comment la nature reprend ses droits, un équilibre se rétablit où l’homme a une place mais pas l’unique.
Dans cette partie plus lointaine, le fauchage une fois par an à la mi-juillet est de mise. Les rémanents sont exportés, c’est-à-dire « faire du foin ».
Pourquoi ? car il n’y a rien de plus biodiversifié qu’une prairie ouverte de fauche et/ou de pâturage comme dans les alpes !
Cela permet à d’autres espèces de revenir car le fauchage/exportation a pour objectif d’appauvrir le sol en matières azotées afin de permettre l’arrivée d’un cortège floristique plus large que les seules graminées et/ou nitrophiles.
Cette démarche est une démarche de long terme, il faudra être patient pour voir se développer notre prairie.
Là aussi, les allées autour du parc ne sont pas traitées contre les mauvaises herbes. Il arrive qu’elles apparaissent, c’est cela aussi la diversité, n’hésite pas à les arracher lors de de tes promenades.
La clairière humide
La clairière humide est probablement le lieu d’une ancienne mare qui a été comblée. Ceux qui connaissent la Maison depuis longtemps nous le rappellent et en ont des souvenirs.
Nous pouvons aussi voir une ancienne clôture entourant une partie de cette clairière, et lorsqu’il pleut beaucoup nous pouvons observer une résurgence au milieu de celle-ci.
Cette clairière est le lieu d’accueil des camps. On y plante les tentes, un coin repas, un e coin veillé avec son feu, un coin prière sont aménagés.
C’est un lieu de vie grandeur nature !
Bien sûr si le temps est trop menaçant les Scouts et Aventuriers pourront se mettre à l’abri dans la maison.
La clairière humide est un espace privilégié de la biodiversité dans le parc. Elle doit être accessible pour accueillir des groupes. Pour cela est réalisé une tonte haute par mois, d’avril à octobre avec ramassage pour éviter de refermer le milieu (nitrophisation).
La grotte de Lourde
Nous apercevons Bernadette contemplant Marie, dans une reconstitution de la grotte de Massabielle à Lourdes.
On voit Bernadette à genoux, face à « la Dame ». Elle venait chercher du bois pour chauffer l’humble maison de la famille.
Autour de nous : la nature, les arbres, le chant des oiseaux, les feuilles mortes qui crissent sous nos pas et cette bonne odeur de sous-bois.
Observons : Bernadette admire, contemple Marie.
Tout le message de Marie nous entraîne sur le chemin de son fils. Ce chemin c’est Lui-même : « Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie ! » (Jean 14,6)
ADMIRER – CONTEMPLER : dans un monde où tout va si vite, prenons le temps de la contemplation ici, dans ce jardin.
Regardons : La nature, les arbres, les fleurs…
Ecoutons le chant des oiseaux, les insectes, le vent…
Goutons la douceur du soleil ou le froid de l’air, la pluie si nécessaire
TOUT NOUS EST OFFERT par notre Créateur.
Regardons Marie invitant Bernadette à se laver et boire l’eau de la source. Que représente l’eau pour nous aujourd’hui ?
Prenons conscience de sa valeur essentielle : l’eau c’est la vie, l’eau nourrit la vie ! l’eau sert aussi à se laver ! Et pour les Chrétiens, l’eau est un des signes de la vie nouvelle reçue au baptême.
SEIGNEUR, parce que tu associes Marie à ton œuvre de salut, en elle, nous reconnaissons la Mère et la Reine de toute la création Nous pouvons lui demander de nous aider à regarder ce monde avec son regard.
La clairiere forestiere
La clairière forestière est l’endroit le plus reculé du parc. Cette grande étendue d’herbe est visible uniquement lorsque tu t’aventures dans la forêt.
Quelle découverte pourras-tu faire ?
Les insectes reprennent possessions des lieux, les écureuils et les lapins sont déjà bien installés.
En levant la tête tu pourras observer les couleurs du ciel, la cime des grands arbres et aussi les oiseaux qui les peuplent.
Cette clairière est le lieu où l’on savoure le calme. Cela nous invite à ouvrir notre cœur à la présence de Dieu.
Dans la clairière forestière, le fauchage une fois par an à la mi-juillet est de mise. Les rémanents sont exportées, on fait du foin.
Comme pour le parc naturalisé, cela favorise la biodiversité du milieu.
Cette démarche est une démarche de long terme, il faudra être patient pour voir se développer notre prairie.
La zone forestière
Le chemin nous invite à parcourir la zone forestière. Ce chemin à l’image des chemins de méditation dans la clôture des monastères nous invite à nous mettre en présence du Seigneur.
La marche lente par son rythme régulier nous permet de méditer plus profondément une parole reçue, une prière, le chapelet.
Merci Seigneur pour tes merveilles